Marble Growth, 1967, Carrera marble sculpture.
Marble Growth has kept the initial form it had when it was extracted from the quarry, the grooves made by the tool, the internal structure of the stone and the natural erosion of the block. In places, the surface has been polished whilst in others the chisel has left its mark. GUADAGNUCCI did not make a model, the work was created out of his confrontation with the mineral itself. It looks like it has spontaneously surged out of the ground amidst the vegetation in Paul Mistral Park. The work was made within the framework of the first French symposium of sculpture in 1967. This international rendezvous for artists expressed the town of Grenoble’s desire to confront sculptors with the urban structures that accompanied the organisation of the 1968 Winter Olympics. Around fifteen works were thus created in-situ, from the northern entrance to the town to the Olympic village and going through Paul Mistral Park.
Born in 1915 in Tuscany, Gigi GUADAGNUCCI (1915 - 2013) became interested in sculpture at a young age, sculpting directly into marble and stone. He settled in Grenoble in the 30s, where he shared his studio for a time with Emile GILIOLI. From the early 50s on he lived in Paris, where he took part in a number of group exhibitions both in France and abroad. His exclusive taste for marble allowed him to fully-exploit its riches without any real concern for the distinction between figuration and abstraction. He managed to draw out forms that are full and sensual, smooth or folded, imposing through their size or a certain finesse that sometimes renders them translucid. The surfaces, soft or rough, are polished with the greatest of care or shattered with a pneumatic drill.
This work was commissioned by the town of Grenoble in 1967. The town of Grenoble has more than 150 works installed in public places that we invite you to discover thanks to several trails across the town and on the grenoble-patrimoine.fr website. These trails have been created with the help of the Département of Isère and the Auvergne-Rhône Alpes Regional Cultural Affairs Directorate.
Pousse de Marbre, sculptée en marbre de Carrare, conserve la forme initiale de son extraction, laissant apparaître les rainures de l'outil, la structure interne de la pierre et l'érosion naturelle du bloc. Par endroits, la surface a été polie tandis qu'ailleurs elle a été entaillée par le burin. GUADAGNUCCI n'a pas produit de maquette, l’œuvre est née de sa confrontation avec le minéral. Elle semble avoir surgi du sol spontanément au milieu de la végétation du parc Paul Mistral. L’œuvre a été réalisée dans le cadre du 1er symposium français de sculpture en 1967. Cette rencontre d’artistes internationaux exprime la volonté de la municipalité de Grenoble de confronter les sculpteurs aux aménagements urbains qui accompagnent l’organisation des jeux olympiques d’hiver de 1968. Une quinzaine d’œuvres a ainsi été créée in situ, de l’entrée nord de la Ville au village olympique en passant par le parc Paul Mistral.
Né en 1915 en Toscane, Gigi GUADAGNUCCI (1915 - 2013) s'intéresse très jeune à la sculpture, pratiquant la taille directe dans la pierre et le marbre. Il s’installe à Grenoble dans les années 30, où il partage quelque temps son atelier avec Emile GILIOLI. Installé à Paris au début des années 50, il participe à de nombreuses expositions collectives en France et à l'étranger. Son goût exclusif pour le marbre lui permet d’en exploiter toutes les richesses sans se préoccuper de la distinction figuration-abstraction. Il en extrait des formes pleines et sensuelles, lisses ou plissées, imposantes dans leur taille ou d'une finesse qui les rend parfois translucides. Les surfaces, douces ou rugueuses, sont polies avec le plus grand soin ou éclatées au marteau-piqueur.
Cette œuvre est une commande de la Ville de Grenoble en 1967. La Ville de Grenoble compte plus de 150 œuvres implantées sur l’espace public, que nous vous invitons à découvrir à travers plusieurs parcours dans la ville et sur le site grenoble-patrimoine.fr. Ces parcours ont été réalisés avec l’aide du Département de l’Isère et de la Direction Régionale des Affaires Culturelles Auvergne-Rhône Alpes.